Mon actualité
Le 8 Mars, journée internationale des droits de la femme
Threads
Je dois avouer que je suis agréablement surprise par l'ambiance qui règne sur Threads.
Je trouve une bouffée d'air frais, loin des trolls et des polémiques stériles. Ce qui me touche le plus, c'est l'empathie et la bienveillance qui se dégagent des échanges.
On sent que les gens prennent le temps de se lire, de se comprendre, de se soutenir. Les conversations sont constructives, les conseils sont sincères, et les encouragements fusent. C'est comme si une petite communauté soudée se formait, où chacun se sent à sa place.
Je suis consciente que c'est peut-être encore l'effet de la nouveauté mais j'espère sincèrement que cet esprit positif perdurera.
C'est assez rare de trouver un espace en ligne où l'on peut se sentir en sécurité et où les relations humaines sont au cœur des interactions.
Merci à tous ceux qui contribuent à cette atmosphère chaleureuse et bienveillante !
C'est un vrai bonheur de les retrouver !
Chris
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A certains grands hommes !
La sculpture de mains géantes à Venise
La sculpture de mains géantes à Venise, intitulée Support, est une œuvre de l'artiste italien Lorenzo Quinn, installée en 2017 le long du Grand Canal.
L'œuvre représente deux mains blanches de taille monumentale émergeant de l'eau et soutenant la façade de l'hôtel Ca'Sagredo, un symbole puissant de la fragilité de Venise face au changement climatique et à l'élévation du niveau de la mer.
Quinn a créé ces mains pour symboliser à la fois le pouvoir destructeur et salvateur de l'homme.
Avec ses mains, l'homme peut détruire mais aussi soutenir, protéger son patrimoine culturel et environnemental.
Chris
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Le pouvoir de la musique
La déclaration de Robert de Niro sur Donald Trump
"J'ai passé beaucoup de temps à étudier les mauvais hommes. J'ai examiné leurs caractéristiques, leurs manières, la banalité absolue de leur cruauté.
Pourtant, il y a quelque chose de différent chez Donald Trump. Quand je le regarde, je ne vois pas un homme mauvais. Vraiment. Je vois le mal incarné.
Au fil des ans, j'ai rencontré des gangsters ici et là. Ce type essaie d'en être un, mais il n'y arrive pas.
Il y a une chose que l'on appelle " l'honneur parmi les voleurs."
Oui, même les criminels ont généralement le sens du bien et du mal.Qu'ils fassent ou non ce qu'il faut, c'est une autre histoire, mais ils ont un code moral, même s'il est tordu.
Ce n'est pas le cas de Donald Trump. C'est un prétendu dur à cuire sans morale ni éthique. Il n'a aucun sens du bien ou du mal. Il n'a de considération que pour lui-même - pas pour les gens qu'il est censé diriger et protéger, pas pour les gens avec qui il fait des affaires, pas pour les gens qui le suivent aveuglément et loyalement, pas même pour les gens qui se considèrent comme ses "amis".
Il les méprise tous.
Nous, New-Yorkais, avons appris à le connaître pendant les années où il a empoisonné l'atmosphère et jonché notre ville de monuments à l'effigie de son ego. Nous savions de première main qu'il s'agissait de quelqu'un qui ne devrait jamais être considéré comme un dirigeant.
Nous avons essayé d'avertir le monde en 2016.
Les répercussions de sa présidence mouvementée ont divisé l'Amérique et secoué la ville de New York au-delà de toute imagination. Rappelez-vous comment nous avons été secoués par une crise au début de l'année 2020 alors qu'un virus balayait le monde. Nous avons vécu le comportement grandiloquent de Donald Trump tous les jours sur la scène nationale, et nous avons souffert en voyant nos voisins s'entasser dans des housses mortuaires.
L'homme qui était censé protéger ce pays l'a mis en péril, à cause de son insouciance et de son impulsivité. C'était comme si un père violent dirigeait la famille par la peur et la violence. Telle est la conséquence du fait que l'avertissement de New York a été ignoré. La prochaine fois, nous savons que ce sera pire.
Qu'on ne s'y trompe pas : Donald Trump, deux fois mis en accusation, quatre fois inculpé, reste un imbécile. Mais nous ne pouvons pas laisser nos concitoyens américains l'ignorer comme tel. Le mal prospère à l'ombre des moqueries dédaigneuses, c'est pourquoi nous devons prendre très au sérieux le danger que représente Donald Trump.
C'est pourquoi nous lançons aujourd'hui un nouvel avertissement. Depuis ce lieu où Abraham Lincoln s'est exprimé - ici même, dans le cœur battant de New York - au reste de l'Amérique : c'est notre dernière chance.
La démocratie ne survivra pas au retour d'un aspirant dictateur.
Et elle ne vaincra pas le mal si nous sommes divisés.
Alors que faire ? Je sais que je prêche un convaincu. Ce que nous faisons aujourd'hui est précieux mais nous devons faire d'aujourd'hui ce que nous ferons demain, c'est-à-dire sortir de ces murs.
Nous devons tendre la main à la moitié de notre pays qui a ignoré les dangers de Trump et qui, pour une raison ou une autre, soutient son retour à la Maison Blanche. Ils ne sont pas stupides et nous ne devons pas les condamner pour avoir fait un choix stupide. Notre avenir ne dépend pas seulement de nous. Il dépend d'eux.
Tendons la main aux partisans de Trump avec respect.
Ne parlons pas de "démocratie". La "démocratie" est peut-être notre Saint-Graal, mais pour d'autres, ce n'est qu'un mot, un concept et en embrassant Trump, ils lui ont déjà tourné le dos.
Parlons du bien et du mal. Parlons d'humanité.
Parlons de bonté. De sécurité pour notre monde. De sécurité pour nos familles. De décence.
Accueillons-les à nouveau.
Nous ne les obtiendrons pas tous mais nous pouvons en obtenir suffisamment pour mettre fin au cauchemar de Trump et remplir la mission de ce "Sommet Stop Trump."
Chris
Texte de Robert de Niro
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La boite à livres dans le quartier
La boîte à livres est une initiative qui mérite réflexion, tant sur ses aspects pratiques que culturels et sociaux.
Elle permet à chacun d’accéder à des livres sans frais. Cela favorise la culture et l’alphabétisation, notamment dans des quartiers où les bibliothèques peuvent être moins accessibles.
En déposant et en prenant des livres, les habitants peuvent échanger sur leurs lectures, partager des recommandations et créer des liens. Cela contribue à renforcer le tissu social du quartier.
Elle favorise le recyclage des ouvrages. Au lieu d’être jetés, les livres trouvent une nouvelle vie, ce qui est bénéfique pour l'environnement.
Ces espaces peuvent également servir de points de sensibilisation pour des événements littéraires, des ateliers d'écriture ou des lectures publiques, impliquant davantage la communauté.
L'intérêt de ces boites réside également dans la diversité des ouvrages. Cela peut permettre à des lecteurs de découvrir des genres ou des auteurs qu'ils n'auraient pas choisis autrement.
C’est finalement un outil précieux pour promouvoir la culture, favoriser les échanges sociaux et encourager le respect de l’environnement.
Chris
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David Bowie et Iman
Le procès de Gisèle Pelicot
Le procès de Gisèle Pélicot a profondément marqué la société française et internationale, soulevant des réflexions majeures sur la culture du viol, le consentement et la justice. Victime de viols répétés orchestrés par son époux Dominique Pélicot, qui la droguait et permettait à d'autres hommes de la violer, Gisèle a choisi de rendre son procès public pour déplacer la honte sur ses agresseurs.
Cette décision courageuse a permis de mettre en lumière la banalité du mal, révélant que les auteurs de ces crimes étaient des hommes ordinaires, issus de divers milieux sociaux et professionnels. Le procès a ainsi brisé le mythe du "monstre" isolé, montrant que la violence sexuelle est souvent perpétrée par des individus de l'entourage proche.
Les condamnations prononcées, bien que significatives, ont suscité des débats sur la sévérité des peines et la perception de la justice envers les crimes sexuels. Dominique Pélicot a été condamné à 20 ans de prison, tandis que les 50 autres accusés ont reçu des peines variées, certaines jugées trop clémentes par l'opinion publique.
Au-delà du verdict, ce procès a initié une introspection collective sur la responsabilité sociétale dans la perpétuation des comportements sexistes et violents. Il a mis en évidence la nécessité de repenser les normes culturelles et les attitudes qui banalisent ou excusent la violence sexuelle, appelant à une transformation profonde des mentalités pour prévenir de tels actes à l'avenir.
En somme, l'affaire Gisèle Pélicot a non seulement rendu justice à une victime courageuse, mais a également servi de catalyseur pour un débat essentiel sur la culture du viol et la nécessité d'un changement sociétal profond.
Chris
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